Selon le site Futura Sciences, “Une réserve de vagues consiste à protéger la qualité et la puissance de la houle dans un lieu précis. Le mouvement d’une vague dépend en effet de l’environnement qui l’entoure : vent, roches, sable, fonds marins…”
Pauline en Mini épisode 1 : Des rêves plein la tête
La Mini Transat, j’en rêve depuis le printemps 2019…
Mais la Mini Transat, c’est quoi ? La Mini Transat est un projet qui se monte entre 1 an et demi et 5 ans, dont l’objectif est de réaliser une transatlantique en solitaire à bord du plus petit voilier de course au large : un Mini 6.50. Le départ est donné tous les 2 ans aux Sables d’Olonne pour rejoindre la Guadeloupe, avec une étape aux Canaries. Aujourd’hui, trop peu de femmes prennent le départ, alors que la voile reste l’un des rares sports où hommes et femmes concourent sur un même classement.
La guerre de l’eau aura-t-elle lieu ?
Début Mai 2023, 40 départements français étaient déjà en « vigilance » ou en « alerte » et trois en « crise » concernant l’état de leurs nappes phréatiques… Une situation inédite qui est amenée à se répéter et à s’amplifier d’après un consensus scientifique aujourd’hui reconnu par tous. Mais le problème dépasse largement les frontières françaises ; toute l’Europe, mais aussi les continents américains, africains et asiatiques sont aussi touchés. La guerre de l’eau que les « intégristes écolos » annoncent depuis des années est-elle inéluctable ?
La Wifi haut débit en mer, confortable ou pas ?
Frigo, congélateur, machine à laver, sèche-linge, lave-vaisselle et maintenant Starlink qui permet un accès à internet haut débit en plein milieu de l’Atlantique, le confort en mer sur les bateaux de plaisance s’apparente de plus en plus à celui que l’on a dans nos maisons. Or, partir en mer c’est aussi déconnecter avec notre quotidien, avec nos smartphones et avec notre société pour mieux se connecter avec la nature. Alors, disposer d’internet haut débit en pleine mer est-il vraiment un gain en confort ?
La France et la mer : une politique en eaux troubles
En 2023, la France a répondu présente à plusieurs grands rendez-vous sur la question des mers et des océans. Elle a participé à des prises de décisions historiques et s’est félicitée des avancées importantes sur la protection des océans et de la biodiversité. Mais certaines voix s’élèvent pour dénoncer une politique à deux vitesses, qui privilégie l’économie à l’environnement. Alors, la France est-elle pompier ou pyromane ? Décryptage.
233 jours, l’exploit de Kirsten Neuschäfer
233, est un nombre remarquable pas seulement parce que c’est un nombre premier, mais plutôt parce que c’est celui qui signe l’exploit de Kirsten Neuschäfer. Elle a en effet remporté le 27 avril 2023 la Golden Globe Race.
Bloom, pour un retour à une pêche durable
Bloom est une association fondée en 2005 par Claire Nouvian. Elle vise la préservation de la biodiversité, des habitats marins et du climat. Constatant la surexploitation et la pollution des océans, notamment dû à des méthodes de pêches destructrices, Bloom a fait de la pêche industrielle son fer de lance. Usant de tous les moyens à sa disposition, c’est à travers de vastes mobilisations que Bloom se bat pour remettre au centre des débats l’importance d’inventer un lien durable entre les humains et la mer.
Sauver la pêche artisanale et la dorade au barbec ?
L’océan est le poumon de la planète. Or la pompe à carbone de l’océan fonctionne s’il y a des animaux dans l’océan, et beaucoup d’animaux, en pleine forme. Par exemple, une baleine stocke à elle seule autant de carbone que 1500 arbres. Mais ce qu’il y a dans l’océan a beaucoup disparu, et continue de disparaître…
Certaines associations, comme Bloom, sont en première ligne pour que ces disparitions cessent.
Course au large, une remise en question nécessaire ?
En février 2023, le skipper de Class 40 Stanislas Thuret a annoncé via ses réseaux sociaux qu’il arrêtait la course au large pour raison écologique. Un sportif qui se propulse à la force du vent et qui pourtant juge sa pratique trop polluante, cela peut surprendre. Pourtant les arguments qu’il présente pour justifier son choix sont suffisamment étayés et partagés par divers collectifs pour que les classes et les organisations de courses commencent à remettre leurs fonctionnement en question. Seatizens vous propose donc de passer au crible les défis que le monde de la course au large devra relever pour devenir durable et les voies dont elle dispose pour les surmonter.