Il y a quelques mois, nous vous parlions de la destruction et du recyclage des bateaux de plaisance. Aujourd’hui, c’est une alternative de up-cycling que nous vous proposons, pour donner une nouvelle jeunesse à votre embarcation.

Le média des citoyens de la mer
Il y a quelques mois, nous vous parlions de la destruction et du recyclage des bateaux de plaisance. Aujourd’hui, c’est une alternative de up-cycling que nous vous proposons, pour donner une nouvelle jeunesse à votre embarcation.
Parmi l’équipement des bateaux de plaisance à voile, le pilote automatique est aujourd’hui incontournable, ou du moins sommes nous de plus en plus à le penser. Ne pas avoir à tenir la barre, c’est pratique ! Mais est ce que l’installation d’un pilote auto n’engendre pas plus de problèmes que de solutions ? Si c’est le cas et si on veut tout de même être libre de ses mouvements sans être scotché à la barre, quelles sont les autres solutions ?
Avec les nouvelles mesures environnementales en vigueur en France (voir notre article Vers moins de soufre(nce) pour l’écosystème méditerranéen), les contrôles se multiplient pour que tous les armateurs respectent les lois. Pour leur venir en aide, les autorités peuvent maintenant être équipées de drones renifleurs, afin de contrôler les fumées.
Comme plusieurs pays du Golfe de Guinée, le Ghana subit la sur-pêche des chalutiers qui détruisent l’écosystème marin. Peu de mesures sont prises et l’effet se fait directement ressentir chez les pêcheurs artisanaux.
Les propriétaires de bateaux ou simples plaisanciers le savent, l’antifouling a un fort impact sur l’environnement dans le monde marin. Et pour cause, afin d’éviter que le riche écosystème des océans élise domicile sous notre cher bateau, on le badigeonne de biocide ou « antifouling »… C’est le traitement à l’ancienne. Heureusement, de nouvelles alternatives pointent le bout de leur nez. Finsulate en fait partie.
Le prochain Vendée Globe se déroulera en 2024. Parmi les concurrents, Tanguy Le Turquais sera au départ sur un bateau Lazare. Le but est de donner de la visibilité aux invisibles, à ces hommes et femmes que nous croisons chaque jour et qui vivent à la rue.
Alors que l’avion est devenu un moyen de transport quotidien pour beaucoup, certains le remettent de plus en plus en question. Le train, la voiture ou encore la résilience sont les voix alternatives de ces sceptiques du transport aérien. Parmi eux, un groupe grandissant de personnes développe une alternative pour les trajets nécessitant la traversée d’une étendue d’eau. Il s’agit de Sailcoop. Arthur le Vaillant et Maxime de Rostolan [2 des fondateurs de Sailcoop ndr.] nous on partagé leur vision de ce projet.
Plaisanciers, coureurs au large ou armateurs de géants des mers, vous avez tous vos raisons d’acheter ou de faire construire un magnifique bateau qui comblera vos rêves, vos intérêts financiers ou encore votre créativité. Le garderez vous 1 an, 10, 50 ? Personne ne peut le dire. Mais que lui arrivera-t-il à l’issue de votre utilisation ? Nul ne le sait non plus. Toute la question du recyclage et de la déconstruction prend son origine dans ces questions.
Alors que le transport maritime continue de s’intensifier, les Etats du bassin Méditerranéen ont décrété la Mer Méditerranée zone SECA pour y limiter les émissions de particules fines. Concrètement, cette décision va engendrer une petite bulle d’oxygène pour la faune et la flore qui s’y trouvent.