Depuis fin-mars, je prépare le bateau pour la première course de la saison : optimiser, changer quelques poulies, réparer un bout cassé lors de l’entraînement, etc. Je rassemble et j’installe aussi tout le matériel de sécurité obligatoire à bord du bateau.
Pauline en Mini épisode 3 : La passation, les premiers entraînements et les chantiers d’hiver
Mi-septembre 2022, j’achète le Mini 679, Roll My Chicken, un prototype de 2007 dont l’architecte est Samuel Manuard. C’est un vieux prototype, mais plutôt performant, surtout au près !
Pauline en Mini épisode 2 : Pourquoi un projet Mini ?
Pourquoi monter un projet Mini ? Pour naviguer oui, mais pas que !
Mais quelles sont les valeurs que je porte à travers mon projet ? Je souhaite détailler les valeurs que je veux véhiculer tout au long de mon projet de transatlantique en Mini 6.50.
Pauline en Mini épisode 1 : Des rêves plein la tête
La Mini Transat, j’en rêve depuis le printemps 2019…
Mais la Mini Transat, c’est quoi ? La Mini Transat est un projet qui se monte entre 1 an et demi et 5 ans, dont l’objectif est de réaliser une transatlantique en solitaire à bord du plus petit voilier de course au large : un Mini 6.50. Le départ est donné tous les 2 ans aux Sables d’Olonne pour rejoindre la Guadeloupe, avec une étape aux Canaries. Aujourd’hui, trop peu de femmes prennent le départ, alors que la voile reste l’un des rares sports où hommes et femmes concourent sur un même classement.
L’épopée maritime et féminine du siècle
Battre le record du Trophée Jules Vernes (tour du monde) avec un équipage 100% féminin, c’est The Famous Project porté par Alexia Barrier.
Les océans saturés par les microplastiques
Amis navigateurs, vous vous en êtes forcément rendu compte lors de vos navigations : les plastiques ont envahi les océans. Et ce qui est encore plus préoccupant, c’est qu’aujourdhui nous sommes en mesure de l’assurer : les microplastiques sont aussi présents dans tous les océans !
Un peu d’écologie dans la course au large, c’est possible ?
A l’heure où notre société se préoccupe de plus en plus de son impact en terme d’écologie, le secteur de l’industrie nautique commence tout juste à prendre, lui aussi, ce virage… Basée sur une source d’énergie propre, le vent, la course au large n’est pourtant pas si verte : matériel électronique complexe, résines et fibres polluantes, équipements peu recyclables…
La course au large pourrait-elle un jour être plus verte ?