En février 2023, le skipper de Class 40 Stanislas Thuret a annoncé via ses réseaux sociaux qu’il arrêtait la course au large pour raison écologique. Un sportif qui se propulse à la force du vent et qui pourtant juge sa pratique trop polluante, cela peut surprendre. Pourtant les arguments qu’il présente pour justifier son choix sont suffisamment étayés et partagés par divers collectifs pour que les classes et les organisations de courses commencent à remettre leurs fonctionnement en question. Seatizens vous propose donc de passer au crible les défis que le monde de la course au large devra relever pour devenir durable et les voies dont elle dispose pour les surmonter.
Zéro pointé : Clarisse n’ira pas au bout du monde…
Tempête médiatique suite au débarquement de Clarisse Crémer par le Team Banque Populaire pour le prochain Vendée Globe. La place de la femme dans le sport de haut niveau en question.
Le Rallye des Îles du soleil : Au-delà d’une transatlantique
Traverser l’Atlantique, un rêve pour beaucoup d’entre nous qui est devenu une réalité pour moi. Mais avant de me lancer à travers cette mer inconnue et gigantesque j’ai dû m’y préparer. La mer est un espace de liberté, certes, mais qu’il convient d’apprendre avant de s’y lancer…
Sponsoring et course au large : Les amants maudits
Le sponsoring et la course au large, une relation ancienne aujourd’hui en pleine mutation. Les marins se tournent vers les associations.
Les skippeuses sont-elles l’avenir de la course au large ?
Pourquoi les skippeuses sont-elles si peu à prendre le départ ? Petit tour d’horizon pour mettre plus de féminité dans la course au large.
Edito : Même Jean le Cam ne pourra pas nous sauver…
Membre de La Vague et co-créateur de Sailcoop, Arthur Le Vaillant souhaite repenser l’impact environnemental de son sport. Il nous livre son regard sur la course au large à la veille du départ de la Transat Jacques Vabre.
L’IMOCA rêvé d’Armel tripon
Le skipper Armel Tripon imagine son futur IMOCA à base de fibres de carbone déclassées et de chutes de pièces composites.
Dans la peau d’un Ministe avec Matthieu Vincent
Matthieu Vincent est un architecte naval qui a participé à la Mini-Transat 2019. Il nous raconte comment il a vécu sa course aussi bien dans les préparatifs que dans la traversée.
La Mini : une grande famille sur un petit bateau
La Mini, ou Mini transat, c’est une course transatlantique où les concurrents possèdent pour monture un bateau de 6,50m de long. Cela en fait la course avec les plus petits bateaux qui traversent l’Atlantique.