Pourquoi les skippeuses sont-elles si peu à prendre le départ ? Petit tour d’horizon pour mettre plus de féminité dans la course au large.

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Pourquoi les skippeuses sont-elles si peu à prendre le départ ? Petit tour d’horizon pour mettre plus de féminité dans la course au large.
Membre de La Vague et co-créateur de Sailcoop, Arthur Le Vaillant souhaite repenser l’impact environnemental de son sport. Il nous livre son regard sur la course au large à la veille du départ de la Transat Jacques Vabre.
Le skipper Armel Tripon imagine son futur IMOCA à base de fibres de carbone déclassées et de chutes de pièces composites.
Matthieu Vincent est un architecte naval qui a participé à la Mini-Transat 2019. Il nous raconte comment il a vécu sa course aussi bien dans les préparatifs que dans la traversée.
La Mini, ou Mini transat, c’est une course transatlantique où les concurrents possèdent pour monture un bateau de 6,50m de long. Cela en fait la course avec les plus petits bateaux qui traversent l’Atlantique.
Peut-on imaginer être plus en accord avec la nature que lors d’un voyage en voilier ? Et pourtant, les navires d’aujourd’hui ont encore beaucoup de chemin à parcourir pour devenir écologiquement performants…