Un début d’année marquée par un peu d’espoir lorsqu’on voit certaines initiatives innovantes, dont le projet « Avenir ».

Le média des citoyens de la mer
Un début d’année marquée par un peu d’espoir lorsqu’on voit certaines initiatives innovantes, dont le projet « Avenir ».
Sébastien Le Bouteiller est un jeune ingénieur en fin d’étude. Comme toi, il est un lecteur de Seatizens. Et comme lui, tu rejoindras peut-être bientôt un projet que tu liras dans nos articles.
La SNSM lance une série de podcasts intitulée « Canal 16 ». Des témoignages de sauveteurs et rescapés pour sensibiliser au sauvetage en mer.
1978, le bateau « Ile de Lumière » est affrété pour aller porter secours à ceux qu’on appelle les « boat-people ». Des hommes, des femmes et des enfants fuyant les régimes dictatoriaux du Vietnam et du Cambodge. Le consensus politique comme intellectuel est alors unanime et la mobilisation de la population va faire naître un nouveau concept : le sauvetage humanitaire en mer.
Le sauvetage en mer est un des plus importants devoirs du navigateur. Sauver des vies n’est pas un sujet de polémique.
Isabelle Autissier et Roland Jourdain ont partagé un texte – signé par 70 autres personnalités du monde de la mer, pour rappeler l’inconditionnalité du sauvetage en mer… Un message fort et qui fait du bien à une période ou, parfois, on en oublie un peu l’essentiel…
Depuis 2020, de plus en plus de migrants empruntent la route maritime qui part des côtes africaines vers les Canaries, une des plus dangereuses et mortelles des quatre principales routes vers l’Europe. L’épidémie de COVID-19 et la fermeture des frontières sont-elles responsables de ce nouveau drame humanitaire ? Un rapport de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM) pointe du doigt l’absence de politique commune entre l’Union européenne et l’Afrique pour une gestion sécurisée et humaine des migrations.
Si vous venez de chavirer, que votre bateau dérive dangereusement vers les rochers, il y a de grandes chances que la SNSM intervienne. Mais on ne le dit pas assez : ces sauveteurs sont des bénévoles. Ce sont des marins qui veillent sur d’autres marins… Belle « initiative » pourrait-on dire. Mais cela ne devrait-il pas être le rôle de l’Etat, d’assurer la sécurité physique des hommes et femmes de mer ? Et cette action gratuite ne devrait-elle pas surtout aller de paire avec une responsabilisation de tous ?
10 juillet 1985, le navire de l’association Greenpeace coule dans le port d’Auckland en Nouvelle-Zélande. On apprendra rapidement que le Rainbow Warrior a été saboté par des agents des renseignements français… Alain Conan était à l’époque commandant du Sirius, le second navire de Greenpeace. Il nous raconte aujourd’hui dans ce podcast Magma cette incroyable et tragique histoire…