Le 22 novembre 2023, Elodie-Jane Mettraux a annoncé qu’elle renonçait à participer à la Womens America’s cup 2024 pour laquelle elle a été qualifiée. Elle indique que ce choix lui permet de respecter ses convictions concernant l’égalité salariale.

Le média des citoyens de la mer
Le 22 novembre 2023, Elodie-Jane Mettraux a annoncé qu’elle renonçait à participer à la Womens America’s cup 2024 pour laquelle elle a été qualifiée. Elle indique que ce choix lui permet de respecter ses convictions concernant l’égalité salariale.
Comment se passe la vie à bord d’un navire de la marine marchande ? Cette question, Seatizens l’a posée à un marin. Son témoignage, poétique, laisse place aux rêves, mais il soulève également des problématiques sociétales et environnementales.
Partir explorer les mers les plus dangereuses dans l’océan Indien, naviguer pendant plusieurs semaines loin de toute terre en Atlantique ou dans le Pacifique pour scruter les grands fonds et analyser les courants marins, les expéditions océanographiques françaises sont mythiques et stimulent notre imaginaire ! Quel marin n’a jamais rêvé d’embarquer sur un navire de la flotte océanographique française ? Aujourd’hui, face aux objectifs de réduction de l’empreinte environnementale d’un navire, la flotte océanographique évolue tandis qu’un nouveau format d’expédition à la voile voit le jour.
SEAtizens lance officiellement la deuxième édition « d’un trésor à la carte ».
Des compagnies d’artistes décident de partir à la voile pour diffuser leurs spectacles. Un véritable engagement !
Depuis fin-mars, je prépare le bateau pour la première course de la saison : optimiser, changer quelques poulies, réparer un bout cassé lors de l’entraînement, etc. Je rassemble et j’installe aussi tout le matériel de sécurité obligatoire à bord du bateau.
Mi-septembre 2022, j’achète le Mini 679, Roll My Chicken, un prototype de 2007 dont l’architecte est Samuel Manuard. C’est un vieux prototype, mais plutôt performant, surtout au près !
Paquebots zéro émission, cargos à voiles, bateaux à hydrogène et/ou tout électrique, construction éco-responsable et navires recyclables, le monde de la mer se met au vert. Mais ces évolutions sont-elles significatives ou ne s’agit-il que d’éléments de langage permettant à ces entreprises de se donner une bonne image à bon compte ? L’enquête de SEAtizens…
Frigo, congélateur, machine à laver, sèche-linge, lave-vaisselle et maintenant Starlink qui permet un accès à internet haut débit en plein milieu de l’Atlantique, le confort en mer sur les bateaux de plaisance s’apparente de plus en plus à celui que l’on a dans nos maisons. Or, partir en mer c’est aussi déconnecter avec notre quotidien, avec nos smartphones et avec notre société pour mieux se connecter avec la nature. Alors, disposer d’internet haut débit en pleine mer est-il vraiment un gain en confort ?