La surpêche est une calamité qui est en train de vider les océans. Mais des progrès sont réalisés et un tout nouveau rapport de l’Ifremer donne même de bonnes nouvelles…
Le média des citoyens de la mer
La surpêche est une calamité qui est en train de vider les océans. Mais des progrès sont réalisés et un tout nouveau rapport de l’Ifremer donne même de bonnes nouvelles…
Alors que la planète et les océans sont menacés, les ingénieurs se tournent vers le biomimétisme. Cette technologie imitant le vivant a de nombreuses applications, y compris dans le domaine de la navigation.
Un rapport du GESAMP analyse l’origine des déchets retrouvés en mer. La solution ? Traiter le problème à la source !
Mais, nous l’observons aussi bien dans nos vies personnelles que dans l’actualité, moins consommer n’est pas aussi simple. Ce mois-ci, c’est donc une initiative de transition que nous avons décidé de mettre en avant. Pas de bateau en bois, calfaté avec du chanvre bio-sourcé made in France, cultivé par des agriculteurs bien rémunéré dans une SCOP etc etc etc… Mais plutôt un calcul intelligent pour limiter les émissions de CO2 dans le monde maritime.
Vous êtes-vous déjà demandé à quoi ressemblait le fond de nos océans ? Allez-y, fermez les yeux et imaginez que vous êtes au fond d’un abysse à plusieurs kilomètres en dessous du niveau de la mer. Que voyez-vous ?
Des compagnies minières se lancent dans l’exploitation des grands fonds marins pour la fabrication de batteries.
Cela fait quelques années que la réduction de vitesse des navires est au cœur des réflexions pour réduire l’impact environnemental du transport maritime. Plusieurs rapports pointent du doigt les diverses formes de pollution inhérentes à cette activité et proposent la solution de la réduction de vitesse comme étant l’une des plus faciles à mettre en œuvre. Mais quels sont les enjeux et les avancées sur ce dossier ? Sommes-nous vraiment à deux nœuds près ?
Selon une récente étude, la cacophonie humaine envahit les océans et perturbe considérablement la vie sous-marine. Des cétacés désorientés qui viennent s’échouer sur les côtes, des espèces menacées parce qu’elles ne peuvent plus retrouver leur habitat, se reproduire ou identifier les prédateurs, les conséquences sont multiples, mais des solutions existent !
Après un an de pandémie et l’annulation de tous les salons nautiques à travers le monde, le Nautic de Paris a pris les devants en organisant mi-mars leur premier salon virtuel. SEAtizens a bien évidemment créé son avatar pour aller se « balader » dans les allées de ce salon nautique 2.0.