Début Mai 2023, 40 départements français étaient déjà en « vigilance » ou en « alerte » et trois en « crise » concernant l’état de leurs nappes phréatiques… Une situation inédite qui est amenée à se répéter et à s’amplifier d’après un consensus scientifique aujourd’hui reconnu par tous. Mais le problème dépasse largement les frontières françaises ; toute l’Europe, mais aussi les continents américains, africains et asiatiques sont aussi touchés. La guerre de l’eau que les « intégristes écolos » annoncent depuis des années est-elle inéluctable ?
Bloom, pour un retour à une pêche durable
Bloom est une association fondée en 2005 par Claire Nouvian. Elle vise la préservation de la biodiversité, des habitats marins et du climat. Constatant la surexploitation et la pollution des océans, notamment dû à des méthodes de pêches destructrices, Bloom a fait de la pêche industrielle son fer de lance. Usant de tous les moyens à sa disposition, c’est à travers de vastes mobilisations que Bloom se bat pour remettre au centre des débats l’importance d’inventer un lien durable entre les humains et la mer.
Sauver la pêche artisanale et la dorade au barbec ?
L’océan est le poumon de la planète. Or la pompe à carbone de l’océan fonctionne s’il y a des animaux dans l’océan, et beaucoup d’animaux, en pleine forme. Par exemple, une baleine stocke à elle seule autant de carbone que 1500 arbres. Mais ce qu’il y a dans l’océan a beaucoup disparu, et continue de disparaître…
Certaines associations, comme Bloom, sont en première ligne pour que ces disparitions cessent.
Course au large, une remise en question nécessaire ?
En février 2023, le skipper de Class 40 Stanislas Thuret a annoncé via ses réseaux sociaux qu’il arrêtait la course au large pour raison écologique. Un sportif qui se propulse à la force du vent et qui pourtant juge sa pratique trop polluante, cela peut surprendre. Pourtant les arguments qu’il présente pour justifier son choix sont suffisamment étayés et partagés par divers collectifs pour que les classes et les organisations de courses commencent à remettre leurs fonctionnement en question. Seatizens vous propose donc de passer au crible les défis que le monde de la course au large devra relever pour devenir durable et les voies dont elle dispose pour les surmonter.
Jeudi 13, Cocktail “On the rocks”
Certains auront compris l’ironie choisie par les Claris pour cette nouvelle exposition, il ne s’agit pas seulement de siroter un bon Whisky. Mais bel et bien de réfléchir à l’importance de la glace dans notre écosystème marin.
Sargasses, l’invasion inexpliquée
Les Sargasses sont des algues brunes que l’on trouve en grande quantité, flottantes dans l’océan atlantique dans ce qu’on appelle la « mer des Sargasses ». Depuis 2011, les Sargasses viennent s’échouer en quantité sur les côtes antillaises, sans que l’on ne sache vraiment pourquoi.
Transformer son bateau en cuisine d’extérieur
Il y a quelques mois, nous vous parlions de la destruction et du recyclage des bateaux de plaisance. Aujourd’hui, c’est une alternative de up-cycling que nous vous proposons, pour donner une nouvelle jeunesse à votre embarcation.
Barrer son voilier sans les mains
Parmi l’équipement des bateaux de plaisance à voile, le pilote automatique est aujourd’hui incontournable, ou du moins sommes nous de plus en plus à le penser. Ne pas avoir à tenir la barre, c’est pratique ! Mais est ce que l’installation d’un pilote auto n’engendre pas plus de problèmes que de solutions ? Si c’est le cas et si on veut tout de même être libre de ses mouvements sans être scotché à la barre, quelles sont les autres solutions ?
La Saintoise, un petit voilier qui a la classe !
Une construction en bois classique, locale, fruit d’un véritable savoir-faire culturel, voilà les ingrédients à l’origine du voilier traditionnel Guadeloupéen, la Saintoise. Ajoutez à cela une véritable classe marine qui coordonne un calendrier sportif composé de régates locales et vous comprendrez alors pourquoi ces petites embarcations cartonnent !